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Par Papillon delune le 2 Mars 2010 à 18:14
Une émission sur l'agriculture biologique sur TV5 à 18h pas vraiment contre, mais pas vraiment pour... l'agriculture industriel ! :
Une agriculture où les cultivateurs et éleveurs conseillent et préconisent une approche différente de notre/la manière d'acheter;
Ainsi les consommateurs doivent penser à ce qu'ils achètent et pas forcément penser à regarder toujours le prix,
même s'ils savent que beaucoup parmis nous le faisons par simple geste d'économie financière.
Ils incitent à nous consommateurs à penser à la qualité plutôt qu'à la quantité de viande consommée dans le mois ou dans la semaine.
Il est préférable de manger une viande de qualité une à deux fois dans la semaine plutôt que de la viande de moindre ou de mauvaise qualité chaque jour, pas cher.
Ils mettent en avant également l'approche des saisons en mettant l'accent sur le fait que l'on ne peut pas avoir tout les fruits et légumes que l'on souhaite puisque les saisons y contribuent.
Les fruits et légumes récoltés ne peuvent pas être les mêmes en hiver qu'en été, qu'en automne et au printemps, chaques saisons correspondent à différentes espèces de fruits et légumes.
"Le consommateur du futur et du présent actuel doit faire face aux dangers de l'agriculture intensive et industrielle et faire place à une agriculture plus saine et respectueuse des organismes naturels qui sont les saisons et la vie."
Les éleveurs biologiques élèvent leurs bêtes non pas en étant enfermées à l'étable mais en les laissant en liberté dans les montagnes où elles peuvent manger et pêtrent de la nourriture saine, non polluée par la ville, qui est l'herbe de montagne.
Les éleveurs biologique respectent avant tout leurs bêtes, c'est pour ça que leurs troupeaux sont généralement en bonne santé et bien portant avec un poil brillant.
Les éleveurs de vaches, de taureau et autres animaux aiment à entendre les cloches scintillantes dans la montagne tout comme leurs bêtes qui sentent elles-mêmes ses vibrations bienvaillante et qui raisonnent au sein de la montagne.
Ainsi, nous devrions penser plus et peut-être acheter moins ou dirons-nous, mieux !
(L'âne ne se mange pas! Exepté le saucisson d'âne pour ceux qui connaissent, que je connais depuis peu car je ne me rappelais plus que l'âne pouvait se transformer en saucisson)
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